Il érige une stèle en un parterre qui aura ETE avant couleurs automnales annoncées : celles de chûte des feuilles (arbres arrière plan) : "sourire" car tout sauf Naturel...nombre 192370
La terrible inflation de 1923 que connut l'allemagne généralisée en mal principal des années 70, inflation de masses monétaires comme la valeur de ces feuilles à devoir chuter inexorablement comme en parterres de futurs tas amoncelés qui ne font plus marcher l'arborescence économique mais signalent un mode d'humeur dépressionnaire (impression automnale des couleurs)
L'Autre futur pôle de puissance de l'axe, le Japon secoué en 1923...le 1 9 23 et donc 70 ressortant un jour un 70ème jour de l'année...un 11 mars (séisme...pierre autrement mortifère de stèle qui dangereusement vivantes dans l'art de Magritte...failles aux deux points de la pierre comme le haut de la couche pierreuse terrestre ) ; l'Italie minorée car 1922 et non 1923 pour la prise pouvoir donc à exclure de cette stèle
L'art étrange de Magritte anime la stèle commémorative : "sourire" toujours face au mal que l'on ne saurait comprendre, témoigne de la vraie Force, celle tranquille de s'exprimer pour s'en libérer à travers toute forme de création artistique car la vraie force est dans un génie qui ne saurait l'utiliser d'autre manière et qui n'est définitivement pas au service des puissances illusoires de ce monde
Magritte accomplit un acte de résistance face aux puissances de l'Axe du mal de la Seconde Guerre Mondiale en trompe l'oeil par le choix volontaire de cette date de ce tableau fait en année 1943 de début de débâcle pour elles : l'année 1923 rappelant la dernière date traumatique collective vécue nationalement soit la terrible inflation de 1923 en Allemagne aussi bien que Tokyo anéantie en 1923
Impressionnante collection rassemblée ; j'ai eu la sensation de n'y avoir passé que quelques minutes alors que plus de deux heures de temps s'étaient écoulées : un peintre pour l'éternité sûrement.
Il y a des chefs d'œuvre qui imposent une rencontre physique, comme une certaine lumière qui continue à couler de certaines de ses toiles et qu'aucune représentation ne peut compenser. Il suffit d'y aller pour savoir pourquoi il fallait y aller car aucune explication ne pourrait résumer le moment d'une rencontre avec ces instants d'éternité volés au temps.
A ne surtout pas manquer, du 22 septembre 2010 au 24 janvier 2011, galerie du Grand Palais à Paris.
....................
Bien sûr, c'est à deux pas du palais de l'élysée....et le vrai nom du peintre OSCAR Claude Monet....
<u><strong>Oscar contre Sarco §§§§ </strong></u>
La lumière du côté de l'artiste et les ténèbres de l'autre côté sur l'élysée annoncées, tout est politique en France.
Comme l'idée des trois étoiles les plus brillantes de la plus connue de toutes les constellations, comme descendues sur terre (admirons ainsi le ciel ainsi vidé de ses constellations d'étoiles comme si seule celle-là avait pu atteindre la Terre).
REVELATION
Le ciel s'est invité à venir éclairer une procession pour la foi des trois religions monothéistes révélées sur terre
ALIF LAMLAM HA en début de calligraphie du nom d'ALLAH respectant sa lecture en allant de droite à gauche, le nom ainsi évoqué du dieu unique selon la dernière temporellement descendue soit celle musulmane au temps de Magritte...les trois rois mages aussi venus en procession éclirer la naissance d'un Jour.
Rythme ternaire unversel des trois éléments respectant l'ordre du ciel, de la mer et enfin la fin du voyage...sur terre.
La lettre Alif donne de droite à gauche le sens de lecture par son orientation, en souvenir de la première révélation monothéiste théophanique parvenue pour les juifs.
Naturellement ensuite, les chrétiens et les musulmans selon le sens d'écoulement du temps de l'histoire.
L'inhumanité de ce qu'il peut cacher d'actes de violence subis, transpire sur la partie corporelle la plus humaine donc le visage où peuvent sièger toutes les nuances exprimées de ce qu'il y a de plus humain en l'homme, c'est à dire ici la fêmme ainsi réduite à l'objet de n'être qu'un corps, un archétype de corps uniforme d'ailleurs. Plus, le souvenir aura creusé son lit, plus il pourra se décrypter par des signes extérieurs qui si on y avait pris garde avant auraient été toujours visibles.