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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 18:35

Il étudia la kabbale pendant deux ans ; il avait dans sa formule l'obsession de la constante comme en reflet inéluctable du dieu ici ; rendons maintenant à dieu ce qui doit lui revenir.

 

Dans la préhistoire de ce qui deviendra plus tard les mathématiques, on retrouve un dinosaure plus ou moins fossilisé avec le temps, une petite partie de la Kabbale.

Il est possible d’envisager à rebours, du point de vue de notre modernité, que le tétragramme du nom du dieu des monothéistes puisse être regardé comme une sorte de formule aussi ; toutefois sur le plan linguistique, il s’agit aussi d’une formule qui reste une conjugaison du verbe « être » en hébreu.

Nous passerons tous les aspects et implications religieuses, toutes les interprétations et toute l’exégèse qui en fut fait. Dieu montre au moyen du nom du tétragramme par lequel il se fait connaître : l’homme démontre, ce qui par la seule voie de la recherche de la connaissance fait que plus l’homme avance dans la Connaissance générale de tous les domaines d’étude de son univers, plus en fait il peut remonter vers lui, sur le plan de la connaissance partagée : plus le temps avance, plus nous pouvons retourner loin dans le passé par le seul moyen de la connaissance acquise et ce qui montre aussi que du fait de pouvoir « être » nous aussi (la théophanie, le face à face entre dieu et Moîse, montre le miroir où prendre conscience de ce qui nous distingue du reste de la création : nous sommes), l’être humain étant, courbe le temps. Ainsi, le dialogue sur le plan de la prise de conscience de toute connaissance enfouie au sein de la création, une « connivence » avec tout ce qui existe, devient seulement possible pour l’homme.

Il est donc souhaitable, possible et peut-être nécessaire, de voir à quel point un jour une transposition du domaine religieux a pu commencer à se faire vers le domaine scientifique. L’idée de formulation du père de la relativité, qui fonde à travers sa formalité la base d’une sorte de « monothéisme scientifique » à travers l’idée de voir Tout sous forme d’énergie, doit nécessairement en recouvrir la forme ;

Ainsi, la première lettre du tétragramme s’en est fait le reflet à travers les siècles : Yod est la notion d’énergie (concept évolutif au fur et à mesure de nos progrès). Mais contrairement à la théorie actuelle, elle représente le point qui crée l’énergie pouvant s’inscrire dans une formule globale : l’Etre unique suprême crée l’énergie, les êtres humains n’en créent pas mais pourront un jour la libérer, la recombiner, la transformer. Par introspection, du point de vue des êtres humains voyant YOD : rien ne peut se créer mais tout se transformer, tandis qu’en conceptualisant en essayant de se placer du point de vue du dieu unique, tout est création donc ramène au point de l’énergie pure c'est-à-dire n’ayant absolument encore aucun début de structuration en dieu qui seul a pu la créer.

YOD peut ainsi devenir le terme nécessaire et suffisant de la première partie d’une équation.

Dans la suite du tétragramme, apparait la lettre HE, puis WAV et puis encore HE, donc éventuellement mais pas seulement le second terme de l’équation.

YOD = HE WAV HE 

Notion essentielle : rien ne saurait se répéter dans le saint nom du créateur (toute création unique en lui), hors, il apparait la répétition de la lettre HE. Pourquoi ? Réponse : HE va traverser WAV et rester HE. Apparait la notion moderne de CONSTANTE en dehors de WAV.

Attention, si maintenant je rassemble les deux HE, non seulement c’est le carré bordant le second terme de l’équation mais en plus, il reste la notion à l’emplacement du premier HE de ½ soit de un sur deux présents dans la formule car l’emplacement demeure pour que le tout reste juste :

YOD = ½ WAV HE2

Conclusion : le HE qui ici marque la limite, traverse sans modification et va donc bien à une vitesse dite en Kabbale de « sur mouvement » qui permet de le voir en deux points en même temps (attention aux trous de ver), la constante ne saurait être le photon donc la lumière mais peut rester liée à la lumière, tout simplement car la lumière entrevue physiquement sous son angle du photon ne traverse pas la matière (attention la notion de WAV peut aussi être plus que ce qui possède une masse).

NB : un seul dieu, le monothéisme transcendantal porte le tétragramme au point de fusion de propriétés de nombres, géométriques par ailleurs.

Guématria en Kabbale : valeur numérique du tétragramme de 26 ; si un seul dieu, nombre à propriété mathématique spécifique le liant aussi à des formes géométriques de 3 sur 4, reflets du nombre de lettres.

Vérification : le nombre 26, dans l’ensemble des entiers naturels est le seul nombre coincé entre un carré et un cube ; en plus, la somme des trois offre naturellement un nombre triangulaire.

Traduction : le nombre 26 est à la 27ème place en partant de 0 tandis que le nombre 25 est à la 26ème place (puisque je ramène tout à un seul terme, je réintroduis aussi la notion de zéro).
Somme de 25 (carré de 5), 26, 27 (cube de 3) = 78 (triangulaire de 12), c’est une forme plus cinétique intrinsèque au tétragramme qui parait figé sans être figé.

Ainsi, il y a bien le processus de passage de la forme du carré vers le cube par 26 (8 points, 12 arêtes, 6 faces pour construire soient bien 26 éléments pour édifier le cube), mouvement perpétuel.

Dieu montre : l’homme démontre, à toi de prouver que ce nombre 26 est le seul nombre n entier coincé entre un carré à n-1 et un cube à n+1.

D’autre part, l’avantage de la connaissance montrée par dieu dans le tétragramme est de donner une valeur guématrique à l’élément de la constante : HE = 5.

Regardez mieux les termes numériques en progression autour de 26 à travers les formes géométriques.

Einstein n’a donné qu’une approximation de cette constante tout en partant sur la bonne voie quant à sa nature. Autrement dit nous savons ce que signifie en Kabbale cette constante :

LA VALEUR DE LA CONSTANTE EST LA VALEUR NUMERIQUE DU NOMBRE DE DIMENSIONS INCOMPRESSIBLES DU MODELE THEORIQUE GENERAL DE LA CREATION : l’ARCHE SUPREME.

Pour résumer, elle dit déjà à combien de dimensions le modèle théorique du tout devient pertinent. La création est en 5 dimensions fondamentales (attention l’Espace est une dimension à lui seul, tout comme le Temps où la Matière, il y en manque deux, courage). Imaginez seulement l’énergie qu’il a fallu pour créer le vide appelé abusivement Espace avant que ne se répande en un temps donné la matière au sein de l’univers. Comment en l’état actuel cela pourrait-il apparaître au sein de la formule de la relativité ? Que fais-tu et où se trouve et sous quelle forme cette énergie que l’on pourrait appeler Espace ?

Au fait, si tu le vois, le tétragramme géométriquement posé à rebours par le triangulaire pour chacun des éléments tend vers la valeur numérique de la somme des nombres d’éléments de systèmes de compte principaux qu’aura connue l’humanité au cours de son histoire. Suite décroissante à séparation par la constante qui offre aussi le cinquième terme :

Tétragramme guématrique : le grand pas du créateur

10 5 6 5

Un petit pas pour le kabbaliste : 10 5 6 5..( )...= ?

Un jeu d’enfant de 7 ans à 77 ans !

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